L’ Association des Thérapeutes Olfactifs Français témoigne de la volonté des Thérapeutes Olfactifs de renforcer leurs relations avec les pouvoirs publics, de participer au dialogue social, de contribuer aux négociations collectives et à la sécurisation des relations de travail.
L’Association des Thérapeutes Olfactifs Français entend également mener un dialogue constructif avec l’ensemble des acteurs susceptibles de favoriser un exercice qualitatif, éthique et responsable de la profession, porteuse de solutions d’avenir dans le domaine de la santé.

En sa qualité de représentant des thérapeutes olfactifs exerçant la thérapie olfactive et l’aromathérapie à titre principal ou à titre complémentaire, l’Association a pour objet :
– de regrouper les personnes physiques qui exercent ou ont exercé une activité de thérapeutes olfactifs et d’aromathérapie ;
– d’étudier, de promouvoir et de défendre les droits et intérêts matériels et moraux, tant collectifs qu’individuels, de ses membres ;
– d’informer ses membres (connaissances juridiques, administratives, techniques…)
– de mettre en œuvre toute action favorisant le perfectionnement professionnel et le développement de l’emploi dans les secteurs d’activités de ses membres ;
– d’assurer la promotion de la thérapie olfactive, notamment auprès des jeunes, des professionnels de la santé, des pouvoirs publics, des médias et de l’opinion publique ;
– de mener un dialogue constructif avec les pouvoirs publics, les administrations publiques ou privées, les institutions économiques et sociales et les organisations professionnelles, à l’échelon local, régional, national et international;
– de participer à toutes les institutions de représentation professionnelle;
– de négocier et de signer des accords;
– de développer des alliances pour contribuer au rayonnement de la profession et pour renforcer son influence, y compris en adhérant aux regroupements (fédérations syndicales, unions, etc.) facilitant la mise en œuvre de ses objectifs;
– d’exercer tous les droits réservés à la partie civile concernant les faits portant un préjudice direct ou indirect à l’intérêt collectif de la profession;- de veiller au respect de la réglementation applicable à la profession et au développement d’une réflexion portant sur la responsabilité, l’éthique et la confraternité, notamment.

